Ressources autour de la Zakat
Tout musulman(e)s à le devoir d’apprendre sa religion. « Iqra » fut le premier mot révélé par Allah au Prophète Muhammad, prières et paix sur lui. Cet symbolique est pleine de sens, la lecture délivre de l’ignorance, éloigne de nous les ténèbres, et apporte lumière à notre foi.
Lire, apprendre et comprendre sont les actions de bases à effectuer, pour pratiquer sa religion convenablement. La recherche de la science est même récompensé par Allah. A ce titre d’après Abou Darda (qu’Allah l’agrée), le Prophète (prière et salut sur lui) a dit :
« Celui qui prend un chemin pour rechercher la science, Allah lui fait prendre par cela un chemin vers le paradis. Certes les anges étendent leurs ailes pour celui qui recherche la science. Certes tous ceux qui sont dans les cieux et sur la terre demandent le pardon pour le savant même le poisson dans l’eau. Le mérite du savant sur l’adorateur est comme le mérite de la lune par rapport aux autres astres. Certes les savants sont les héritiers des prophètes et les prophètes n’ont pas laissé comme héritage des dinars ou des dirhams mais ils ont laissé la science, celui qui la prend aura prit une part importante ». (Tirmidhi)
Par ailleurs, d’après Anas (qu’Allah l’agrée), le Prophète (prière et salut sur lui) a dit: « Apprendre la science est une obligation pour chaque musulman ». (Ibn Maja)
Enfin, le Quran nous dit à la sourate 20 Ta-Ha, verset 114 :
فَتَعَٰلَى ٱللَّهُ ٱلْمَلِكُ ٱلْحَقُّ ۗ وَلَا تَعْجَلْ بِٱلْقُرْءَانِ مِن قَبْلِ أَن يُقْضَىٰٓ إِلَيْكَ وَحْيُهُۥ ۖ وَقُل رَّبِّ زِدْنِى عِلْمًۭا
« Que soit exalté Allah, le Vrai Souverain ! Ne te hâte pas [de réciter] le Coran avant que ne te soit achevée sa révélation. Et dis: « Ô mon Seigneur, accroît mes connaissances ! » «
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D’après Ibn Mass’oud (qu’Allah l’agrée), le Prophète (salut et paix sur lui) a dit :
« Il n’y a d’envie que dans deux choses: un homme à qui Allah a donné de l’argent qu’il dépense dans la vérité et un homme a qui Allah a donné la sagesse avec laquelle il juge et qu’il enseigne ».
(Boukhari)
L’envie ici est sous le sens du mot arabe « ghibta » (c’est-à-dire le fait de vouloir le même bienfait que possède une personne, sans détester que cette personne l’ait).